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La petite fille pendue

La petite fille pendue

Herveline Louin

L’adolescence, passage entre l’enfance et l’âge adulte, n’a jamais été une étape facile. C’est ce que va découvrir la jeune Maria fraîchement arrivée dans le paisible village de Lennmann. Obligée d’y passer la fin de ses vacances, elle s’y sent aussitôt oppressée et se confronte à la réticence farouche des villageois.

Pourtant Lennmann n’est pas un village comme les autres et cache de sombres légendes. À commencer par l’existence d’un fantôme qui hante la cité et ses habitants depuis maintenant dix-sept ans. Cet esprit, dit la rumeur, serait l’âme d’une petite fille retrouvée pendue dans sa chambre il y a des années de cela. Mythe ou réalité ? Qu’importe, Maria doit découvrir la vérité !

Partez à la poursuite du fantôme de la petite fille pendue aux côtés de Maria et Tristan. Quel lien relie la pendue et la lycéenne ? Pourquoi la petite fille s’est-elle pendue ? Et pourquoi tous les villageois détestent Maria ? Découvrez une quête haletante entre croyances et faux-semblants !

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Éditeur : Editions Amalthée Langue : français
Genre : Policier et Suspense Sortie : 30 novembre 2016
Sous-genre : Thriller

Disponible chez :

Biographie

Herveline Louin

Je suis née à Saint Brieuc, dans les Côtes d'Armor. Et d'aussi loin que je m'en souvienne, j'ai toujours adoré les livres. Quand je me plonge dans un récit, j'ai l'impression d'y être et j'imagine tout comme si je voyais ce qui se passe. Petite, j'étais une fille espiègle et souriante qui vivait à Brielles avec une mère secrétaire de mairie et un père professeur de batterie. On avait même un chien qui s'appelait Mozart! C'est là qu'on voit que je viens bien d'une famille de musiciens moi...

Quand j'eus cinq ans, il fallut déménager à Cuillé quand la maison fut construite. Et qui dit nouvelle maison dit nouvelle école. Je me sentais perdue et seule mais une fille est arrivée avec sa peluche Pikachu et m'a demandé si j'aimais Pokémon. Je lui ai fais un simple hochement de tête et elle m'a sorti qu'on devait être amie. Depuis c'est ma première meilleur amie! Mes années primaires, je les ai passées avec des bonnes notes et les joies comme les pleurs. Bref rien de croustillant.

Une fois au collège, les complexes commençèrent. Il faut savoir que je n'étais pas une fille très appréciée. En vérité j'étais différente pour eux: Une fille en jean et t shirt nulle en sport et bonne dans les autres matières. Beaucoup de gens se moquaient de moi mais heureusement j'avais mes deux amis pour m'aider à tenir. Eh oui, j'étais tout le temps avec des garçons. J'étais plus à l'aise avec eux qu'avec des filles. Mais l'un d'eux déménagea et l'autre me fit la tête sans raison. C'est ainsi que j'ai rencontré ma seconde meilleure amie. Mais en cinquième, année de collège où je commençai à écrire sur des blogs ou mes cahiers, une fille s'en prit à moi sans que je sache pourquoi. Oh au départ elle semblait inoffensive. Mais ensuite vînt les menaces de mort et les couteaux ramenés en classe pour me faire peur. Et moi je cachais ce qui se passait. C'est le prof de maths qui comprit que quelque chose se tramait lorsque j'eus un 0 à un devoir maison. Même si j'étais nulle en maths, cela le surprenait. La fille fut donc virée ailleurs et je pus retrouver mon sourire d'avant. Je regretterai ces années où j'avais des profs sensass et où je restais une enfant...

Et l'époque que je risque de regretter et en même temps oublier sur certains points: le lycée. Le lycée a été pour moi une époque assez dure mais j'ai tout de même eu de bons moments. J'ai d'abord été interne. Mais avec les accidents qui survenaient (dessins déchirés, vols de mp3 et j'en passe) j'ai été obligé de quitter l'internat en première. Vous devinerez sans peine que j'ai passé un bac L. Etant donné que je déteste les maths et les sciences. Mais j'adorais écrire alors j'écrivais même en cours, quand je voulais. Mais attention je faisais ça parce que j'ai une mémoire auditive. En gros je me rappelais du cours et je le réécrivais le soir. Mais j'étais très solitaire et complexée à cause de ma pire ennemie qui avait lancé la rumeur que j'étais une fille facile. En plus on me traitait de grosse et de fille différente à cause de ma passion pour les mangas et le dessin. Heureusement, en Terminale, j'ai réussi à parler à celui qui deviendrait comme un frère pour moi. Ce garçon était musicien (et l'est toujours) et rêvait de sortir son propre disque. Il m'a ouvert les yeux, me faisant comprendre que je n'avais pas besoin de penser aux moqueries et critiques tant que je fais ce que j'aime. Il disait même que mon histoire était prenante. C'est pour cela que je le considère comme un grand frère: il a su me donner la foi en moi et le courage de publier un jour pour devenir écrivain comme j'en rêvais. Je me souviendrais toujours de nos délires en philosophie quand on s'ennuyait et nos discours sur la prof de littérature qu'on pouvait pas voir en peinture...et c'était réciproque d'ailleurs... Et bien sûr j'avais le soutien de mes meilleures amies, même si l'une était en lycée professionnelle et l'autre encore au collège. Je les voyais souvent et on se disait les dernières anecdotes de nos établissements. Puis, le dernier jour, je me suis lâchée en me déguisant en danseuse de flamenco et en portant pour une fois une robe lors du bal de fin d'année. C'est d'ailleurs au bal que j'ai fait la paix avec une fille qui m'avait fait du mal.

Et me voilà maintenant en fac d'espagnol à Rennes. Mais je repique une année pour Lettres Modernes maintenant. Ma première meilleure amie est au lycée. L'autre a décidé de faire une fac de médecine. Mon frère de coeur a sorti son premier CD. Et moi? Je cherche à espérer garder mon petit ami et j'ai enfin l'opportunité de publier mon premier roman. J'ai déjà commencé une nouvelle série que je souhaite publier aussi et que je garde depuis le lycée. J'espère continuer mon rêve d'écrivain en plus de devenir professeur!

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